Quand l’automne arrive, pas de problème : il fait encore bon quelque temps. Puis vient la chute brutale des températures et là, fini de rigoler ! L’alarme « froid sibérien » clignote en rouge et les périodes de grand gel se multiplient : la frileuse débarque !
A la maison
Chez soi, aucune raison d’avoir froid. Normalement. La frileuse, elle, trouve pourtant les moyens de se les cailler malgré le chauffage au maximum (même la peinture fond, c’est dire). Alors, la frileuse sort les armes fatales : chaussons géants, plaid de la tête aux pieds, tisane à 90° (toutes les heures) et chauffage dans le dos. Sauna assuré.
En sortant du domicile
La préparation de la frileuse qui va sortir est extrêmement méticuleuse : rien ne doit dépasser sous peine de geler immédiatement. Bonnet enfoncé jusqu’aux yeux, double écharpe (système anti courant d’air), pulls empilés sous un manteau énorme et moufles de compétition, la frileuse réinvente le look hivernal de Casimir. Avant de se dire une fois dehors : « il faisait chaud, finalement, chez moi !»
En attendant quelqu’un dehors
Le coup classique, tant redouté par la frileuse : « j’arrive dans 2 minutes.» Mais celles-ci se transforment peu à peu en 5, 10, 15 minutes… La frileuse, pourtant bien équipée (voir paragraphe précédent), prie intérieurement pour garder ses extrémités intactes. Finalement, l’ami(e) arrive au lieu de rendez-vous et découvre une sorte de bonhomme de neige au look de bandit raté. Car oui, il y avait aussi la cagoule.
En sortant de la douche
L’un des meilleurs moments de la journée devient l’activité la plus redoutée en hiver : la douche. La frileuse prépare alors le terrain avec le chauffe-serviette préalablement allumé une heure avant, pyjama posé dessus, et la porte fermée. Après le déshabillage vitesse fusée et la douche de 3 siècles, c’est le moment fatidique : il faut sortir. Malgré l’eau à 60° et le pyjama chaud qui attend, il ne reste plus qu’une solution… la motivation niveau 100 !
La frileuse a beaucoup de frères et sœurs… En faites-vous partie ? 😉